Bilan 2018 : Contrôle biologique des insectes piqueurs
Encore une année de plus pour GDG Environnement, c’est maintenant l’heure du bilan de fin de saison. Qu’est-ce que nos amis les « maringouins » et les mouches noires nous ont réservée pour cette année? Une certitude émerge, les conditions ont été totalement différentes pour le traitement des moustiques qu’en 2017.
Voici notre bilan 2018 pour le Québec, en trois points :
1. UNE SAISON MARQUÉE PAR L’ABSENCE DE PLUIE
Contrairement à l’année 2017 qui a été marquée par des inondations historiques, l’année 2018, quant à elle, a brillé par son soleil quotidien. Bien sûr, nous ne nous en plaindrons pas ici. Selon les sources d’environnement Québec, « entre mars et juin, le sud du Québec […] a été privé de près d’un tiers du total de pluie normalement reçu à cette période de l’année, un écart équivalant à un mois de mai complet sans pluie»[1]. Nous pouvons donc certifier que « dame nature » a été de notre côté pour faciliter notre travail. Moins d’eau stagnante signifie aussi moins de traitement nécessaire. Nous souhaitons le même scénario pour la prochaine année.
2. SATISFACTION DE LA VILLE DE NICOLET
En 2018, la ville de Nicolet et GDG Environnement entretenaient un nouveau partenariat pour traitement des insectes piqueurs et des mouches noires. Après une année de traitement, la satisfaction des citoyens est quasi-unanime. « La mairesse Geneviève Dubois a rendu publics les résultats du sondage mené en septembre dernier, indiquant que 95% des répondants se sont dits prêts à refaire l’expérience et à payer de nouveau pour le contrôle des mouches noires et des maringouins »[2].
Le constat est clair, une fois que le programme de contrôle biologique des insectes piqueurs est instauré, les citoyens comprennent qu’ils peuvent profiter enfin de leurs activités extérieures et redemandent le même scénario pour chaque saison estivale.
3. UNE DEMANDE CITOYENNE ACCRUE POUR LE PROGRAMME
En cette année 2018, les demandes citoyennes pour obtenir le contrôle biologique ont plus que doublé. Cela signifie que GDG Environnement effectue un bon rendement auprès de la population cliente et que notre notoriété continue de s’étendre dans l’ensemble de la province du Québec, là où le « maringouin » est toujours prêt à nous accompagner pour un feu de camp entre amis. De plus, notre plateforme de sondage (disponible sur le site internet de GDG) accueille de plus en plus de répondants qui souhaitent obtenir une solution écologique pour les insectes piqueurs.
Les moyens de communications mises à la disposition de citoyens profitant de nos services sont encore une fois un franc succès notamment avec les kiosques d’informations et la ligne téléphonique info-moustiques. Cette formule gagnante constitue un rendement à la hauteur car nous pouvons répondre dans un bref délai et ainsi connaitre, du même coup, les nouveaux territoires de nuisances d’insectes piqueurs. Par exemple, l’apparition d’un nouveau barrage de castor signifie une prolifération de maringouins dans une région.
[1] http://www.environnement.gouv.qc.ca/climat/Faits-saillants/2018/juin.htm
[2] https://www.lecourriersud.com/insectes-piqueurs-vers-un-renouvellement-de-lentente/